upgrade film kritik

Cette série B high tech, produite par Jason Blum, d’un pessimisme constant, jusqu’à son brutal twist final, s’installe au firmament des plaisirs, déployant l’essence même des cultes de science-fiction que sont devenus Terminator, Looper et Ex Machina.

Quelque part entre la trilogie "Matrix" pour son sens de la chorégraphie à la limite du virtuose et "Ex machina" d'Alex Garland pour sa réflexion autour de l'intelligence artificielle, un film de science-fiction qui s'inscrit dans la lignée de films comme "Predestination" ou "Synchronicity" avec une couverture médiatique presque inexistante.

Publiée le 29 août 2018 « Upgrade » est une excellente surprise, moi qui ne savait pas trop à quoi m'attendre. Logan Marschall-Green (sosie de Tom Hardy n'est-ce pas!)

Armé de référents qu’il convoque sans les singer (Verhoeven, Cameron et Cronenberg), Leigh Whannell confectionne une SF futuriste hybride… Un thriller SF inattendu, prenant et avec une ambiance comme je les aime. Lire ses 507 critiques Malgré une trame assez convenue, Upgrade reste une ‘'mise à jour'' pertinente sur le transhumanisme, dans la lignée de l'excellent thriller SF d'Alex Garland Ex Machina. Lire ses 1 966 critiques Ces films doivent être d’ailleurs la référence première d’un metteur en scène bercé à ces productions dans sa jeunesse. Suivre son activité

Le réalisateur dit aimer les films d’anticipation des années 1980 (Terminator, Robocop), il fait honneur à leur inventivité. De Yaron Shani Mais j'aime bien les films d'anticipation, le sujet avait l'air sympa et j'ai un petit faible pour Logan Marshall-Green (sosie officiel de Tom Hardy) . Les meilleurs films de tous les temps selon les spectateursLes meilleurs films de tous les temps selon la presse De Surtout, le film déploie un arsenal cyberpunk plausible et impressionnant : éternuement de nanomachines tranchantes ou flingues implantés dans les membres. En effet, "Upgrade" dispose d'une vrai identité cinématographique : vision du futur dans l'ère du temps (maisons & voitures autonomes, drones omniprésents...), designs sympathiques, couleurs travaillées, et idées originales en ce qui concerne l'augmentation des corps par la cybernétique et la nanotechnologie (on pense parfois aux jeux vidéos "Deus Ex" à ce niveau). Ensuite, les idées folles pleuvent comme ces armes incorporées dans le corps où cette technique de combat surprenante et qui amène des montées de violence inattendues mais jouissives, qu’on ne verrait pas dans un gros blockbuster du genre. De Upgrade est vraiment excellent.

Eran Naim, Stav Almagor, Stav Patai Avec ses effets visuels originaux [...], son scénario à rebondissements et sa capacité permanente à tirer vers le haut cette série B made in Blumhouse tournée pour 5 millions de dollars en Australmie, "Upgrade" s'adjuge haut la main le titre d'excellente surprise du mois, voire de l'année. Tout en nous faisant aussi réfléchir sur l'avenir et les dérives de l'intelligence artificielle. "Upgrade" est donc un petit film de SF très sympathique, qui aurait mérité une large diffusion en salles. Une mise en scène astucieuse de la part de Leigh Whannell qui remonte dans mon estime après la semi-déception qu'avait été "Insidious, chapitre 3" et un long-métrage porté par son excellent acteur principal, Logan Marshall-Green que j'avais découvert dans "Prometheus" de Ridley Scott et qui m'avait véritablement révélé dans la récente série "Quarry". Découvrez la critique du film Upgrade de Leigh Whannell, sorti en 2018 - L'avis d'EcranLarge.com La trame simple de cette série B aussi décalée qu’haletante est magnifiée par ses idées visuelles et sa dynamique sans faille. J'ai bien aimé le final.

Pour Commencer la Réalisation est précis et innovante en nous emmenant dans un futur sombre et proche de la réalité qui est soutenu par une BO assez efficace de Jed Palmer qui s'accordent parfaitement au long métrage. Sorti en plus dans l'indifférence générale (casting et metteur en scène inconnus en France) dans peu de salles. Je ne donnais pas cher de ce Upgrade : Leigh Whannell, son réalisateur, est l'un des acteurs de la saga Insidious et a même dirigé le numéro 3 (pas le meilleur).

Publiée le 5 octobre 2018 Publiée le 5 octobre 2018 Suivre son activité

Lire ses 3 327 critiques La musique complète l'ensemble où seuls les decors pêchent parfois. Leigh Whannell signe ici un véritable bijoux d'Anticipation a la fois Violent et Brillant qui rend un belle hommage aux classiques de SF des années 80-90.

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